En 2011, le professeur Martin Jarvis jette un pavé dans la mare, ou plutôt une météorite dans la mer !
Après des années de recherches, le musicologue et chef d’orchestre australien prétend que certaines des plus belles pages du plus célèbre des compositeurs baroques, Jean-Sébastien Bach, ont été écrites par Anna Magdalena, sa seconde épouse, qui était jusque-là considérée à tort comme sa simple copiste. Le monde feutré de la musique crie au scandale. Les arguments sont rejetés sans même avoir été étudiés. Et pourtant…
Le documentaire est conçu comme une enquête policière recoupant les indices, croisant les preuves et les « témoignages ». Cette découverte pourrait bien renforcer la confiance des jeunes femmes à qui l’on a trop souvent dit que les grandes compositrices n’existaient pas !
En partenariat avec l’Université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines.